Maison Empereur a désormais son salon de thé

Le bel empire de la rue des Récolettes continue de s’agrandir. Cette fois-ci, l’extension se fait en hauteur, dans les étages de la boutique. Planqué au-dessus des rayons traditionnels de Maison Empereur, un salon de thé vient d’ouvrir. 

Café Luciani, thé Mariages Frères et vin chaud ! On n’en attendait pas moins d’un salon de thé signé Maison Empereur. Pour y accéder, mieux vaut être déterminé. L’espace fraîchement aménagé ne se trouve pas facilement, il est même carrément caché à l’étage de la boutique. Pas de signalétique, mais des pois jaunes peints au sol qui indiquent plus ou moins la direction (le mieux est encore de demander de l’aide aux vendeurs..). Après avoir grimpé en haut de deux escaliers en colimaçon, vous vous trouverez enfin au bon endroit.

Là, les murs en pierre, les tables anciennes et le style légèrement monacal semblent vouloir nous amener dans un autre temps. En témoigne aussi, le choix d’exposer sous vitrines les produits historiques de la boutique. Le « petit musée » comme on l’appelle ici, pour rappeler les savoir-faire et traditions des fournisseurs phares de Maison Empereur.


Maison Empereur – Salon de thé 
4 rue des Récolettes
13001 Marseille

Partager:

Facebook
Twitter
Pinterest
LinkedIn
Ça moud, ça blend, ça torréfie du côté du Camas ! En quatre ans, la brûlerie Moka a su s’imposer...
Nichée en contrebas du parc Longchamp, la boulangerie Boni a délivré les habitants des 5 Avenues de la baguette industrielle....
Petite remontée dans le temps pour une grande descente sous-marine avec Matthieu Mas qui nous raconte l'improbable histoire du téléscaphe,...
Elle a rejoint l'équipe des Théâtres en 2008, et depuis, Marie-Julie Amblard accompagne les artistes, reçoit les publics, coordonne les...
Si Marseille était une couleur, ce serait le jaune. Couleur soleil, couleur apéritif, couleur chaine en or qui brille. Vendredi...
Synthés, machines et guitare. Des textes en français. Le multi instrumentiste, connu aussi sous le nom de Charles Sinz, vient...
Dans ce minuscule repaire de siroteurs, c’est la poésie du cocktail que l’on vient chercher, celui que l’on aime boire...
Ça moud, ça blend, ça torréfie du côté du Camas ! En quatre ans, la brûlerie Moka a su s’imposer...
Retour en haut