Festival Le Liberté Parallèle, Biennale des imaginaires numériques

Du 30 janvier au 3 février, Le Liberté nous invite à une exploration à la croisée des mondes, entre réalité sensible et réalité numérique. Le Festival Numérique devient Le Liberté Parallèle – Biennale des imaginaires numériques et rejoint la plateforme de coproduction et de diffusion CHRONIQUES. Un petit tour à Toulon ça vous dit ?

© Mechane – Studio Chevalvert

Quel est le point commun entre une pomme, une planète, une tartine beurrée, un chat et l’Homme ? Tous sont soumis à une même force qui décrit leurs mouvements : la gravitation. Le temps de quelques jours, Le Liberté nous propose de laisser les artistes nous embarquer dans un imaginaire numérique affranchi de cette contrainte. Une invitation à faire l’expérience sensible de l’apesanteur dans la peau de Thomas Pesquet ou du vertige par la danse ; à prendre de la hauteur et voir autrement ce qui lévite au-dessus de nos têtes, satellites, drones, avions de chasse ; à s’extraire de la réalité par un temps suspendu entre fiction immersive et poésie cosmique ; à onduler jusqu’à la lévitation aux sons de DJ set libérateurs ! Parés au décollage ? Il vous reste jusqu’au 3 février !

——————————

Le Liberté Parallèle
Du 30 janvier au 3 février 2019
Théâtre Le Liberté : Grand Hôtel – Place de la Liberté
83000 Toulon

Partager:

Facebook
Twitter
Pinterest
LinkedIn
Si Marseille était une couleur, ce serait le jaune. Couleur soleil, couleur chaine en or qui brille. Vendredi 19 avril,...
Synthés, machines et guitare. Des textes en français. Le multi instrumentiste, connu aussi sous le nom de Charles Sinz, vient...
Dans ce minuscule repaire de siroteurs, c’est la poésie du cocktail que l’on vient chercher, celui que l’on aime boire...
Ça moud, ça blend, ça torréfie du côté du Camas ! En quatre ans, la brûlerie Moka a su s’imposer...
Si Marseille était une couleur, ce serait le jaune. Couleur soleil, couleur chaine en or qui brille. Vendredi 19 avril,...
Synthés, machines et guitare. Des textes en français. Le multi instrumentiste, connu aussi sous le nom de Charles Sinz, vient...
Dans ce minuscule repaire de siroteurs, c’est la poésie du cocktail que l’on vient chercher, celui que l’on aime boire...
Ça moud, ça blend, ça torréfie du côté du Camas ! En quatre ans, la brûlerie Moka a su s’imposer...
Retour en haut